Bonjour Roselyne,
Tout d’abord, recevez toutes mes excusess pour cette réponse tardive ; J’ai longtemps gardé ce message en mémoire, sans l’envoyer…
Touché bien évidemment par votre message, je garde un excellent souvenir de cette journée passée en compagnie de votre groupe, de Parlaren Mouten, et surtout de Robert Crégut.
Je me souviendrai longtemps de la force, la facilité aussi, avec laquelle les chants de votre groupe ont su nous emporter, nous détacher de cette salle, de notre journée, de notre quotidien, juste grâce à vos voix tant appréciées.
Votre groupe forme un magnifique ensemble qui mérite d’être encore plus connu, prescrit de part la qualité et la justesse de vos interprétations.
Heureusement pour Parlaren, c’est Robert Crégut qui vous avait prescrit, qui avait porté si bien, si haut, vos couleurs.
Baignant, cependant, dans le bénévolat depuis des décennies, il m’était –et il m’est toujours– inconcevable d’imaginer, de penser, qu’un accueil café-biscuits, châtaignes-canons de rosé puissent suffire à un remerciement matériel de votre venue (transport, déplacement et spectacle d’une telle qualité). N’en déplaise, soit dit en passant, à certains « responsables » d’associations.
Ces quelques bouteilles sauront se marier avec d’autres victuailles, lorsque votre groupe décidera de passer un bon moment de convivialité. Je ne suis pas inquiet !
La convivialité, la counvivenco comme on dit chez nous, convivialité que nous apprécions tant en la présence, en compagnie de Robert Crégut.
Remercier le bénévolat, savoir le reconnaître et pousser, s’il le faut, avec des petits gestes, lorsque la réponse n’est pas à la hauteur…
Merci donc à vous, à votre groupe, sans oublier Robert Crégut pour ce si bon moment !
Chaleureusement,
Olivier.
